Pour être toujours plus compétitifs, les Groupes internationaux s’organisent en transférant une partie de leur production vers leurs filiales à l’étranger ou vers des partenaires sélectionnés. Les acheteurs, les chefs de projet, les techniciens doivent alors développer de nouvelles compétences, non plus techniques mais relationnelles, afin d’obtenir le meilleur rendement global possible. Ces compétences sont surtout des compétences interculturelles afin de mieux cerner les contraintes, mais aussi les forces et les faiblesses.
Beaucoup de cultures sont vraiment différentes de la culture française et des difficultés de communication apparaissent souvent dès les premiers contacts. Ainsi un « oui » n’en n’est pas forcément un, certaines affirmations sont plutôt des questions, un rire peut exprimer une gène, beaucoup de rendez-vous sont sans actions derrière. Toutes ces différences conduisent à des frictions dans les relations, des malentendus, voire une rupture !
La formation sous-traitance interculturelle a été conçue pour, non seulement donner les clefs de compréhension relationnelle, mais aussi, pour valider la pertinence du pilotage des actions réalisées tout au long du processus de sous-traitance : validation du cahier des charges, d’une recette, engagement des livrables, mise en conformité, relation commerciale, relation technique, etc…
L’interculturel comme levier
Cette connaissance interculturelle va vous permettre de communiquer plus efficacement, de définir des stratégies de partenariat plus efficaces, d’aborder la sous-traitance internationale de manière plus experte et d’être ainsi mieux préparé à ces défis.
Comprendre et se faire comprendre de ses interlocuteurs étrangers, dans le processus de sous-traitance, afin de développer des relations efficaces et fiables
Analyser et expliquer les sources et origines des tensions culturelles
Se construire un véritable système de compréhension des cultures afin d’atteindre ses objectifs
Devenir interculturel, s’approprier les connaissances interculturelles clefs
Nous vous suggérons cinq options complémentaires, très opérationnelles pour renforcer l’acquisition des connaissances. Vous pouvez les sélectionner, ou non, en fonction de vos attentes.
La formation ne durant qu’une journée, un dossier individuel de préparation pourra être envoyé à chacun, trois semaines avant la session, afin d’en optimiser la préparation psychologique.
Dans ce dossier : les attentes de la formation, les difficultés rencontrées dans la sous-traitance avec les filiales ou les partenaires, suivies d’un ou deux exemples concrets, les objectifs personnels souhaités.
Afin de créer l’émulation de groupe et faciliter l’acquisition des connaissances, chaque participant peut-être doté d’un boitier électronique et évalué toutes les trois heures par un jeu de questions/réponses.
Le résultat et le classement sont donnés immédiatement sur un écran en pourcentage de bonnes réponses et ceci afin de limiter les comparaisons embarrassantes entre des niveaux hiérarchiques différents dans la formation.
Si vous le souhaitez, ce questionnaire peut être aussi un outil extrêmement puissant pour les ressources humaines car il vous offre la possibilité d’identifier le « profil connaissance » des participants en créant ainsi un véritable observatoire. Pour la première fois, vous allez mesurer le niveau de connaissances perçues dans une formation en établissant une cartographie interculturelle de vos collaborateurs. Transmission d’un rapport à 48 heures après la formation.
La mesure sera faite sur les éléments suivants :
Parce-ce que certains collaborateurs ont plus de difficultés que d’autres à appréhender les différentes cultures ; parce que certains collaborateurs doivent être fiables à 100 %, un accompagnement en demi journée vous est proposé.
Le coach formateur étant basé à Grenoble, il n’y a aucuns coûts de déplacements !
Pourquoi ce qui est vrai dans la culture française, ne le serait-il pas pour les autres cultures ? La formation proposée peut être faite aux autres cultures ciblées, directement dans le pays, pour une meilleure compréhension réciproque et une meilleure acceptation de la différence française.