Avec les tensions de guerre qui s’amplifient, l’ouverture interculturelle s’avère plus cruciale que jamais. Les conflits géopolitiques et les rivalités entre nations rendent les affaires internationales de plus en plus délicates. Dans ce contexte, il est impératif de repenser notre approche et de cultiver une sensibilité accrue avec une vision plus panoramique de notre environnement global. La pandémie de Covid-19 a déjà limité nos interactions physiques et cette réalité s’est intensifiée avec l’émergence de nouvelles tensions. Les échanges virtuels, qu’ils soient en visioconférence ou par téléphone, doivent désormais être aussi efficaces et pertinents que les rencontres en face-à-face d’autrefois.
Laurent Goulvestre a plus de trente années de pratique terrain à l’international en tant que consultant et gestionnaire d’équipe internationale. Il propose aujourd’hui des conférences interculturelles et a développé une plateforme de matching culturel capable de faire un profil culturel, de le mettre en perspective avec un pays ciblé, mais aussi de donner des informations clef sur ce qu’il faut faire et ne pas faire dans ce pays.
L’ouverture interculturelle et le management interculturel deviennent des compétences essentielles pour naviguer dans ce paysage déstructuré. Ces compétences permettent de décoder les signaux faibles, d’anticiper les besoins des partenaires et de comprendre les enjeux sous-jacents qui peuvent influencer les relations d’affaires. La complexité actuelle est alimentée, en plus, par deux phénomènes interconnectés : la rareté des richesses naturelles et la surpopulation.